Ce jeudi 21 juin est le jour le plus long de l’année. C’est le solstice d’été qui est un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du soleil vu de la terre atteint son extrême méridional ou septentrional en fonction du plan de l’équateur céleste ou terrestre. Il s'oppose ainsi à l’équinoxe qui se produit lorsque la position apparente du Soleil est située sur l'équateur céleste. Tandis que les équinoxes se caractérisent par une durée égale entre le jour et la nuit, les solstices correspondent à une durée de jour minimale (en décembre, dans l’hémisphère nord) ou maximale (en juin, dans l'hémisphère nord).

Une année connaît deux solstices : dans le calendrier grégorien, le premier est proche du 21 juin, le second est proche du 21 décembre. Ces dates changent légèrement au cours des années ; elles évoluent aussi sur les grandes périodes de temps en fonction des légers mouvements de l'axe de rotation terrestre.

L’entraineur national Nabil Maaloul va effectuer deux changements dans son équipe cet après-midi face à la Belgique. En défense Yohann Ben Alounae va remplacer Syam Ben Youssef et au milieu Elyes Skhiri fera sa rentrée à la place de Naim Selliti. Farouk Ben Mustapha sera de nouveau titularisé dans les cages.

Voici par ailleurs la formation probable :

Farouk Ben Mustapha
Dylan Brown
Yassine Meriah
Yohann Ben Alouane
Ali Maaloul
Eyes Skhiri
Seif Eddine Khaoui
Ferjani Sassi
Anis Badri
Wahbi Khazri
Fakhreddine Ben Youssef

Le berger torturé, samedi par des terroristes, est décédé, dimanche après-midi à l’hôpital militaire de Tunis, a affirmé le porte-parole du ministère de la défense Belhassen Oueslati à l’Agence TAP.

Mohamed Griri a été transporté en hélicoptère militaire de l’hôpital régional de Kasserine vers l’hôpital militaire de Tunis où il a succombé à ses blessures, a ajouté la même source.

Griri a été brutalement agressé par un groupe terroriste retranché au mont Chaâmbi (gouvernorat de Kasserine) pendant qu’il guidait ses moutons vers la zone militaire fermée.

Le ministère de la Défense nationale avait indiqué, samedi dans un communiqué, que des terroristes ont violemment frappé un berger et lui ont coupé un bout de son nez avant de le relâcher.

Aussitôt avisée, une formation militaire s’est déplacée en urgence sur les lieux de l’incident et a transporté le berger en ambulance à l’hôpital régional de Kasserine, selon le même communiqué.

Une opération de ratissage a été lancée dans les périmètres de l’incident pour traquer le groupe terroriste.

Le tribunal militaire a condamné le député Yassine Ayari à trois mois de prison ferme. C’est Ayari lui-même qui l’a annoncé sur sa page Facebook en affirmant qu’il accepte le verdict.

Il a, également, annoncé qu’il convoquera une conférence de presse dès son retour d’Allemgane où il se trouve pour faire la lumière sur cette affaire.

Il est à rappeler que le député a renoncé à son immunité parlemntaire.

Les unités sécuritaires de Jendouba ont procédé à l’arrestation d’un takfiriste ayant photographié les six martyrs de la garde nationale tués au vours d'une attaque terroriste à Ain Soltane, sur le site de l’attentat terroriste, dont les corps ensanglantés gisaient par terre.

Le suspect a, ensuite, publié les photos sur sa page Facebook ouverte sous un faux profil. Il a été vite identifié et son lieu de résidence localisé.

Dans une vidéo largement partagée sur les réseaux sociaux, la présidente du centre international des études stratégiques sécuritaires et militaires, Badra Gaaloul a déclaré avoir mis en garde les autorités sécuritaires contre l’éventuelle exécution d’une attaque terroriste dans la région de Jendouba 5 jours avant l’attaque d’Ain Soltane. Dans cette déclaration à une TV arabe, elle a affirmé que les autorités concernées n’ont pas pris ses mises en garde au sérieux.

Selon le site Nessma TV, le ministère public près le Tribunal de première instance de Tunis a ouvert une enquête concernant ces déclarations.

La Chambre d'Appel spécialisée dans les affaires d'ordre financier a décidé, vendredi 13 juillet 2018, la libération de toutes les personnes impliquées dans l'affaire du français Jean Jacques Demri, dite « affaire d’espionnage ». Ces personnes ont été arrêtées depuis 6 mois. La chambre, également, décidé de reporter le procès au 21 septembre prochain et ce après une plaidoirie qui a duré plusieurs heures.

Il est à rappeler que l’homme d’affaires français a été condamné à 2 ans de prison et à une amende de 5 000 TND, tandis que ses coaccusés   le conseiller du ministre de la santé et le directeur-adjoint au sein du ministère des Domaines de l’Etat ont écopé d’un  an de prison.
De son côté, le directeur central des investissements et du produit touristique au sein du ministère du Tourisme a été condamné à un an de prison et une amende de 5.000 dinars.

Les autorités allemandes demandent la récupération du Tunisien, présenté comme étant un ancien garde du corps d’Oussama Ben Laden, qui a été expulsé d’Allemagne et remis vendredi 13 juillet 2018 à la Tunisie où il a été immédiatement arrêté. , ont annoncé les officiels allemands et tunisiens.

Cette reconduite en Tunisie est intervenue bien qu’un tribunal de Gelsenkirchen, dans la Ruhr, ait ordonné jeudi soir en référé qu’il ne soit pas expulsé en attendant l’examen approfondi de son dossier.

Mais selon un porte-parole de la cour interrogé par l’agence allemande dpa, le tribunal n’a informé les services allemands d’immigration que ce vendredi matin par fax de cette décision. C’était trop tard.

L’homme, présenté comme Sami A. par les autorités allemandes et comme Sami Idoudi par la Tunisie, « a été arrêté juste à son arrivée à Tunis », a déclaré de son côté Sofiene Sliti, porte-parole du pôle anti-terroriste.

Selon M. Sliti, il a suivi « des entraînements en Afghanistan et c’est (l’ancien) garde corps de Oussama ben Laden », tué en 2011 par les Américains.

Entre temps, l’homme âgé de 42 ans, et arrivé en Allemagne pour la première fois en 1997, avait déjà été renvoyé vers la Tunisie.

L’Office allemand des migrations avait levé fin juin une interdiction d’expulsion à son encontre, rendant ainsi son renvoi vers la Tunisie possible. Mais ce dernier avait déposé un recours en justice contre cette décision.

Son expulsion a longtemps été bloquée par la justice allemande en raison des risques de torture qu’il encourait s’il venait à être remis aux autorités tunisiennes.

Nous avons reçu de la part de Docteur Lilia Bouguirra (membre de l’Instance Vérité et Dignité) cette contribution intitulée "Un conte de minuit" que nous publions dans son intégralité. Ecrit sous forme de vers, le texte évoque, entre autres, les situations économique, politique et social de la Tunisie actuelle.

"Un conte de minuit.

Il était une fois un président.
Il était vieux comme le monde. Il avait plus de 90 ans.
Les gens l'ont choisi parce qu'il était certes vieux mais futé . 
Ils pensaient qu'il les sauverait du diable et ses acolytes. 
Seulement le torrent était fort et allait tous les emporter. 
Alors,il décida de s'y associer. 
De plus, le vieux avait un faible pour son fils aîné. Ce dernier n'avait pas de grains à semer.
Ni tête ni queue. Il allait vers sa perte que gagner.
L'ordre des choses cafouillait et le peuple affamé commença à perdre pied. 
Pas de vivres .
Pas d'eau.
Pas de médicaments pour se soigner. 
De plus, ses enfants se font égorger par des terroristes endiablés. 
Filiation damnée ou punition des dieux contrariés. 
En tout cas, rien ne va plus.
La foi devient misère, la tolérance une carte à accrocher.
La vérité devient lie, la lie une monnaie.
La dignité n'a plus sa place dans une IVD morte-née.
Ni pain ni brioche.
Ni statues de sel ni Loth à débarquer. 
Gens perdus sans collier sifflent leur président qui semble avoir décampé .
Quelle honte et quelle effigie historique de ce vieux une fois disparu. 
A-t-il encore toutes ses raisons pour avancer sur l'échiquier sans exposer le pays à plus de deals et de danger?
Sur quelle catastrophe, allons- nous encore nous réveiller ? 
Nos vies sont accrochées à un fil dont il lui revient la sécurité. 
Échec et mat reste ma foi la seule alternative tant espérée."

Lilia Bouguira

Les investigations se poursuivent après l’attaque au ‎‎couteau, survenue le 12 juillet, contre deux policiers à ‎‎Djerba, a fait savoir, mercredi, le porte-parole du pôle ‎‎judiciaire de lutte antiterroriste Soufien Selliti.‎

« La section antiterroriste du parquet s’est saisie de l’enquête, ouverte notamment pour tentative d’assassinat sur personne dépositaire de l’autorité publique », a déclaré à la TAP, Selliti, ajoutant que seul, le ministère public est juridiquement habilité à trancher sur la nature de l’acte (criminel ou terroriste).

Le porte-parole du pôle judiciaire réagit au communiqué publié par le Syndicat du personnel de la Direction générale des unités d’intervention dans lequel il qualifie l’incident de Djerba « de tentative d’attaque terroriste contre un établissement touristique ».

Le porte-parole du Tribunal de première instance de Médenine, Mourad Ouedherni avait indiqué à la TAP que l’attaque au couteau perpétrée par un individu, contre deux policiers en patrouille, sur la plage de Djerba, est un crime de droit commun.

L’agression a eu lieu lors d’un contrôle d’identité, avait précisé la même source qui écarte tout lien terroriste avec cet acte.

L’un des policiers a été légèrement blessé. Le deuxième a été transporté à l’hôpital régional de Djerba Houmt Souk dans un état critique.

Dans un communiqué, le ministère de l’Intérieur avait signalé que l’agresseur avait refusé de présenter ses papiers d’identité. Il a poignardé les policiers lorsqu’ils ont tenté de le fouiller. Le couteau était caché dans un sac. L’homme a été arrêté. Les investigations se poursuivent à son sujet.

La présidence française se trouve ces derniers jours en proie à une affaire un peu saugrenue. Une vidéo mise en ligne a montré un collaborateur du résident Emmanuel Macron frappant un manifestant le 1er-Mai, qui a déclenché l'ouverture d'une enquête préliminaire pour violences et usurpation de fonction. Le collaborateur identifié comme étant Alexandre Benalla, coiffé d'un casque à visière des forces de l'ordre, s'en prend à un jeune homme à terre. Les images ont déclenché l'indignation de toute la classe politique.  

Le syndicat VIGI CGT Police annonce porter plainte pour « usurpation de fonction » et « usurpation de signe réservé à l'autorité publique ». Le syndicat a demandé la nomination d'un juge d'instruction. 

A l’Assemblée nationale, le groupe parlementaire de la république en marche de Macron(LREM) a rejeté la demande de création d’une commission d’enquête parlementaire sur les incidents ayant émaillé le 1er-Mai, émanant de la France Insoumise, des communistes, des socialistes et de LR.

Le parquet de Paris a annoncé jeudi l'ouverture d'une enquête préliminaire, notamment pour « violences par personne chargée d'une mission de service public » et « usurpation de fonctions ».

L’Elysée qui peine à couper court à cette bronca suscitée par cette vidéo,avait suspendu ce collaborateur pour deux semaines, du 4 au 19 mai, avant de le muter à des fonctions administratives à l'Elysée.

Avec médias

Suite à une querelle survenue au cours d’un mariage dans la délégation de Hassi el Frid au gouvernorat de Kasserine, un homme a foncé par sa voiture sur les invités, provoquant la mort d’une femme et la blessure de dix autres personnes.

Il a du coup transformé le mariage en un drame.

Un incendie qui s’est déclaré lundi 23 juillet 2018 a complètement ravagé une grande menuiserie dans la zone industrielle de Jebel Oust dans le gouvernorat de Zaghouan, le directeur régional de la protection civile, le colonel Salem Yousfi cité par l’agence TAP.

« Toutes les unités de protection civile de Zaghouan, aidées par des unités venues du gouvernorat de Tunis ont été dépêchées sur les lieux de l’incendie pour circonscrire les feux et ont réussi à les empêcher de s’étendre à un café mitoyen », a-t-il précisé.

Il a, toutefois, indiqué que les feux n’ont pas été totalement maitrisés et dont les causes sont inconnues, précisant que la menuiserie couvre une superficie de 1000 mètres carrés et emploie 150 ouvriers.

L’éclipse totale de Lune la plus longue du siècle se produira dans la nuit du vendredi 27 au samedi 28 juillet 2018, qui sera visible sur une grande partie de l’Europe et de l’Asie mais aussi en Afrique, en Océanie et en Amérique du Sud… mais à condition qu’il fasse beau.

Pendant 1 heure et 43 minutes, la Lune sera entièrement invisible, rapporte le site web ouest-france.fr, car ce 27 juillet 2018, l’orbite de la Lune sera quasiment alignée avec celle de la Terre. Conséquence : une éclipse lunaire totale, c’est-à-dire l’ombre portée de la Terre sera visible sur la Lune, ce qui donnera l’impression que celle-ci est masquée, explique Ouest-France.

Autour de l’éclipse lunaire, le journal français explique, de façon simple, ce phénomène à travers cinq questions : Combien de temps le phénomène durera-t-il ? Regarder cette éclipse, est-ce dangereux ? Quand pourrons-nous en profiter chez nous ? Pourquoi y a-t-il si peu d’éclipses de Lune ? Pourquoi y a-t-il si peu d’éclipses de Lune ?

Dans la nuit de vendredi à samedi, la Lune mettra 1 heure 42 minutes et 57 secondes pour traverser le cône d’ombre de notre planète, ce qui sera la plus longue éclipse lunaire totale du XXIe siècle ! Le phénomène complet, lui, durera plus de six heures

Regarder cette éclipse, est-ce dangereux ?

Non, pas du tout. Contrairement à celle du Soleil, la « lumière » de la Lune n’est pas dangereuse : vous pourrez apprécier le spectacle sans aucun danger, voire observer le phénomène avec des jumelles.

Quand pourrons-nous en profiter chez nous ?

À l’est de l’Hexagone, de Biarritz à Valenciennes en passant par Poitiers et Paris, l’éclipse totale sera visible à partir de 21 h 30. À Brest, à partir de 21 h 55. La fin de l’éclipse totale est prévue pour 23 h 13, jusqu’à la sortie de la Lune de la pénombre de la Terre à 01 h 28.

Pourquoi y a-t-il si peu d’éclipses de Lune ?

Alors que la Lune fait le tour de la Terre en 27 jours, pourquoi n’y a-t-il que quelques éclipses lunaires par an ? Le plan orbital de la Lune est incliné de 5 degrés, ce qui fait qu’elle est rarement dans l’orbite parfaite de la Terre..

Alors, n’hésitez pas à sortir vos lunettes d’observation pour l’occasion ! Et gardez-les au chaud : du 3 au 5 août prochains se tiendront les 28e Nuits des étoiles. Nous y reviendrons.

Source : ouest-france.fr

L’ancien garde du corps de Oussama Ben Laden, le Tunisien Sami Aidoudi qui a été extradé par les autorités allemandes est relâché suite à l’expiration de la durée de sa garde à vue, a indiqué, vendredi, le porte-parole du Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme Soufien Selliti.

Après l’interrogatoire subi ce vendredi par Aidoudi en présence de son avocat et en raison de l’expiration de la durée légale de 15 jours de sa garde à vue, il a été décidé de le remettre en liberté tout en poursuivant les investigations, a-t-il précisé dans une déclaration à l’agence TAP.

Le Pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme s’est saisi de l’affaire et le ministère public a ordonné l’ouverture d’une enquête après l’expiration de la durée de la garde à vue du suspect, a ajouté Soufien Selliti.

Le 13 juillet dernier, Selliti avait indiqué qu’un Tunisien a été extradé par les autorités allemandes suite à un mandat d’amener international émis à son encontre par le Pôle, précisant que le suspect a été soumis à un interrogatoire judiciaire à El Gorjani.

Ancien garde du corps de Oussama Ben Laden, chef de l’organisation terroriste Al Qaida, Sami Aidoudi né en 1976, est impliqué dans des activités suspectes sur le territoire allemand. Il a suivi des entrainements militaires en Afghanistan, avait indiqué la même source.

Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter a été ressentie dimanche à 13h48mn à Bourjine (gouvernorat de Sousse), a annoncé dans un communiqué l’Institut national de météorologie (INM).

Selon les données préliminaires, l’épicentre de cette secousse est situé à 35,67 degrés de latitude et 10,61 degrés de longitude. Les habitants de la région de Bourjine ont ressenti la secousse.

Sur une dramaturgie de Souad Ben Slimane et une mise en scène de Cyrine Gannoun et Majdi Boumatar, « Le radeau », présenté samedi 28 juillet 2018 à Mad’art dans le cadre de la 54ème édition du Festival International de Carthage, révèle en huis clos l’histoire de huit  personnages de différentes nationalités abordant avec sensibilité, profondeur et émotion les causes de l’immigration clandestine, un sujet d’actualité et brûlant.

C’est avec la participation du Festival International de Carthage que cette pièce est présentée dans son ultime et dernière tournée en Tunisie.

L’afflux était massif de la part du public. Des figures du théâtre, des artistes et des hommes politiques ont pris la grande part.

Les rideaux ont été levés sur un vieux radeau au milieu de la scène. La lumière est tamisée et la musique d’horreur règne l’espace. Huit personnages de différentes nationalités dont quatre femmes et quatre hommes sont sur le radeau avec comme seul désir quitter leurs pays vers l’Italie. Ils sont prêts même à risquer leurs vies.

Les huit clandestins venus de divers pays de la Tunisie, d’Afrique noire (Bénin), de la Syrie et du Liban, se lancent dans la traversée, entassés sur une barque de pêche relativement robuste avec un vieux chef : « Le Harrag ».

Lorsque le radeau se perd et les huit immigrants se retrouvent perdus au large de la méditerranée, l’angoisse, le doute et la peur les uni les uns avec les autres. Chacun raconte avec émotion son histoire et la raison pour laquelle il se trouve obligé d’immigrer clandestinement.

C’est très souvent l’espoir de trouver un bon travail et de bien gagner sa vie qui pousse les gens à immigrer, comme c’est le cas pour « Zarga » cette jeune commerçante de la Tunisie qui est partie en quête d’un meilleur travail à l’étranger pour gagner suffisamment d’argent  pour pouvoir plus tard aider sa famille et monter une petite affaire dans son pays d’origine.

C’est avec  l’espoir de trouver son fils immigré absent depuis deux mois que la vieille maman syrienne a pris le risque d’immigrer clandestinement.

Aussi parmi les raisons qui poussent les gens à immigrer, spécialement ceux de l’Afrique et en particulier du Bénin, c’est d’échapper à la misère et l’injustice sociale..

La guerre et les conflits font aussi partie des raisons que la pièce a traité, à travers le personnage de « Hour », la jeune fille libanaise qui veut concrétiser son rêve d’enfance de devenir une danseuse.

« Le Radeau » a aussi évoqué d’autres raisons pour lesquelles les jeunes songent à immigrer à travers le personnage d’un jeune tunisien homosexuel qui a préféré l’exode même clandestin pour jouir de sa la liberté personnelle et vivre en dignité ailleurs. Un autre jeune opposant aussi  en quête de sa liberté d’expression et de se faire respecter et vivre librement.

Le 24 juillet dernier, une jeune femme de 22 ans, Marie Laguerre se promène dans dans le XIXe arrondissement de Paris et se fait siffler par un inconnu qui lui adresse également des propos humiliants. La jeune femme de 22 ans décide de lui répondre « ta gueule » et de continuer son chemin. Mais l’homme n’accepte pas, revient sur ses pas et frappe l’étudiante en plein visage. La scène est immortalisée par la vidéosurveillance d’un café se situant à proximité.

Après avoir déposé plainte, la jeune femme a relayé la vidéo de son agression sur les réseaux sociaux.

La vidéo a été massivement partagée sur les réseaux sociaux. Si l'homme n'a pas encore été reconnu, une enquête a toutefois été ouverte, lundi 30 juillet.

 Dans sa publication sur son compte Facebook, Marie Laguerre expliquait « ne pas tolérer ce genre de comportement. Je ne peux pas me taire et nous ne devons plus nous taire ».

Source : Médias

https://www.lci.fr/faits-divers/harcelee-elle-publie-sur-facebook-la-vid...

Une secousse tellurique de magnitude  3 sur l'échelle de Richter a été enregistré dans la nuit de lundi 30 juillet 2018 à 22h dans les délégations de Skhira du gouvernorat de Sfax et de Mazouna du gouvernorat de Sidi Bouzid.