
Les « fake news » sont devenus un sport national en Tunisie. A l’approche des échéances électorales, ce phénomène va certainement se propager sur les réseaux sociaux pour alimenter les rumeurs dont nous sommes férus, nous autres Tunisiens. Et envenimer un climat déjà infecte. Dans un article publié dans sa version électronique sous le titre « les fake news ne font pas ramadan », le Point.fr a fait l’inventaire de ce qu’il a appelé « épisodes salés, dignes d'un mauvais feuilleton, genre télévisuel très prisé pendant la période ramadanesque ».
Le western salafiste à Radès, la députée accusée d'avoir bu de l'alcool dans sa voiture, les rabbins israéliens à Djerba. « Tout cela pourrait relever du venin qui s'épanouit dans l'anonymat bienveillant que procurent les réseaux sociaux. C'est une véritable menace qui pèse sur les prochains scrutins », conclut le journal.
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